LES SYLLABES :
Le mètre :
Unité rythmique dans la versification grecque et latine. Dans la poésie française, nombre de syllabes d'un vers.
Le tétrasyllabe (ou tétramètre) :
Vers composé de quatre syllabes.
Le pentasyllabe :
Le Pentasyllabe est un vers composé de 5 syllabes.
L'hexasyllabe :
Le vers de six syllabes ou hexasyllabe ou demi-alexandrin ne s'emploie guère seul que dans le genre lyrique, et s'entremêle le plus souvent avec des vers plus long. Il s'allie très bien avec d'autres vers, surtout avec l'alexandrin.
L'heptasyllabe :
L'heptasyllabe, ou vers de sept syllabes, est très courant dans notre poésie et on l'emploie ordinairement comme l'octosyllabe.
L'octosyllabe :
Vers de huit syllabes, ont été particulièrement en faveur au Moyen Âge.
l'ennéasyllabe :
Vers de neuf syllabes que l'on trouve particulièrement dans les pièces chantées. Ce vers se marie très bien au féminin avec l'octosyllabe masculin.
Le décasyllabe :
Le décasyllabe, ou vers de dix syllabes. Il est aussi le vers épique.
L'hendécasyllabe :
vers de onze syllabes. Complexe à l'emploi (ainsi que l'ennéasyllabe), son utilisation est rare, mais convient cependant avec quelques coupes.
L'alexandrin :
L'alexandrin, ou dodécasyllabes, vers de douze syllabes, est le mètre le plus usité dans notre poésie depuis le XVIe siècle. On le considère comme le vers qui convient le mieux à l'épopée, à la poésie dramatique, didactique, à l'élégie, etc. On en fait même un usage fréquent dans la poésie lyrique, où il se combine aisément avec d'autres mètres.
Les vers impairs (préférés de Paul Verlaine) sont le plus souvent destinés au chant. Le vers impair n'est pas nouveau. Son origine est ancestrale, ces vers tenaient toute leur importance au temps des orateurs, les premières poètes.
Le mètre :
Unité rythmique dans la versification grecque et latine. Dans la poésie française, nombre de syllabes d'un vers.
Le tétrasyllabe (ou tétramètre) :
Vers composé de quatre syllabes.
Le pentasyllabe :
Le Pentasyllabe est un vers composé de 5 syllabes.
L'hexasyllabe :
Le vers de six syllabes ou hexasyllabe ou demi-alexandrin ne s'emploie guère seul que dans le genre lyrique, et s'entremêle le plus souvent avec des vers plus long. Il s'allie très bien avec d'autres vers, surtout avec l'alexandrin.
L'heptasyllabe :
L'heptasyllabe, ou vers de sept syllabes, est très courant dans notre poésie et on l'emploie ordinairement comme l'octosyllabe.
L'octosyllabe :
Vers de huit syllabes, ont été particulièrement en faveur au Moyen Âge.
l'ennéasyllabe :
Vers de neuf syllabes que l'on trouve particulièrement dans les pièces chantées. Ce vers se marie très bien au féminin avec l'octosyllabe masculin.
Le décasyllabe :
Le décasyllabe, ou vers de dix syllabes. Il est aussi le vers épique.
L'hendécasyllabe :
vers de onze syllabes. Complexe à l'emploi (ainsi que l'ennéasyllabe), son utilisation est rare, mais convient cependant avec quelques coupes.
L'alexandrin :
L'alexandrin, ou dodécasyllabes, vers de douze syllabes, est le mètre le plus usité dans notre poésie depuis le XVIe siècle. On le considère comme le vers qui convient le mieux à l'épopée, à la poésie dramatique, didactique, à l'élégie, etc. On en fait même un usage fréquent dans la poésie lyrique, où il se combine aisément avec d'autres mètres.
Les vers impairs (préférés de Paul Verlaine) sont le plus souvent destinés au chant. Le vers impair n'est pas nouveau. Son origine est ancestrale, ces vers tenaient toute leur importance au temps des orateurs, les premières poètes.