Oeuvre de François Villon
Cette liste se veut exhaustive. Cependant, elle est régulièrement mise en doute, l'attribution de tel ou tel poème étant contestée ou a contrario elle se voit parfois enrichie de « nouvelles » œuvres... Néanmoins, elle semble acceptée en l'état par la plupart des spécialistes de Villon.
Les œuvres sont ici présentées et datées selon la chronologie établie par Gert Pinkernell qui semble la plus cohérente, notamment depuis que le passage de Villon à Vendôme a été démontré. Certaines ne sont pas datées précisément, et celles incluses par Villon dans le Testament sont ici placées après ce dernier, même si elles peuvent être antérieures. Les titres sont ceux retenus dans les Poésies complètes, éditées et commentées par Claude Thiry au
Ballade des contre vérités (1455 ?–1456 ?, Paris)
Le Lais (1457, Paris)
Épître à Marie d'Orléans (début 1458, Blois)
Double ballade (début 1458, Blois)
Ballade des contradictions (début 1458, Blois)
Ballade franco-latine (début 1458, Blois)
Ballade des proverbes (octobre-novembre 1458, Vendôme)
Ballade des menus propos (octobre-novembre 1458, Vendôme)
Épître à ses amis (été 1461, Meung-sur-Loire)
Débat du cuer et du corps de Villon (été 1461, Meung-sur-Loire)
Ballade contre les ennemis de la France (fin 1461, Meung-sur-Loire)
Requeste au prince (fin 1461, Meung-sur-Loire)
Le Testament (1461). Y sont aussi inclus :
Ballade des dames du temps jadis
Ballade des seigneurs du temps jadis
Ballade en vieux langage françois
Les regrets de la belle Heaulmiere
Ballade de la Belle Heaulmière aux filles de joie
Double ballade sur le mesme propos
Ballade pour prier Nostre Dame
Ballade à s'amie
Lay ou rondeau
Ballade pour Jean Cotart
Ballade pour Robert d'Estouteville
Ballade des langues ennuieuses
Les Contredits de Franc Gontier
Ballade des femmes de Paris
Ballade de la Grosse Margot
Belle leçon aux enfants perdus
Ballade de bonne doctrine
Rondeau ou bergeronnette
Épitaphe
Rondeau
Ballade de conclusion
Ballade de bon conseil (1462, Paris)
Ballade de Fortune (1462, Paris)
Ballades en jargon (1462, Paris)
Ballade des pendus (fin 1462, Paris)
Quatrain (fin 1462, Paris)
Louanges à la cour (janvier 1463, Paris)
Question au clerc du guichet (janvier 1463, Paris)
Biographie
François de Montcorbier dit Villon (né en 1431 à Paris, disparu en 1463) est un poète français de la fin du Moyen Âge. Il est probablement l'auteur français le plus connu de cette période. Les romantiques en firent le précurseur des poètes maudits.
Les seules sources contemporaines dont nous disposons concernant Villon sont, outre ses propres écrits littéraires, six documents administratifs relatifs à ses procès1. Ainsi, il faut soigneusement séparer les faits établis avec une quasi-certitude de la « légende Villon » à laquelle il a lui-même largement contribué en se mettant en scène dans ses œuvres.
En français moderne Villon se prononce [vijɔ̃] (comme « pavillon ») : la preuve en est apportée par le jeu des rimes comme dans la Ballade finale du Grand Testament, où le poète fait rimer son nom avec « carillon » ou « vermillon ». La prononciation à Paris, au XVe siècle, était différente comme pour le prénom, mais il ne viendrait à l'idée de
personne de ne pas prononcer aujourd'hui François [fʀɑ̃swa] , donc par cohérence il faut dire [vijɔ̃] » pour Villon.
Plus d'informations sur :
http://fr.wikipedia.org/wiki/François_Villon
Cette liste se veut exhaustive. Cependant, elle est régulièrement mise en doute, l'attribution de tel ou tel poème étant contestée ou a contrario elle se voit parfois enrichie de « nouvelles » œuvres... Néanmoins, elle semble acceptée en l'état par la plupart des spécialistes de Villon.
Les œuvres sont ici présentées et datées selon la chronologie établie par Gert Pinkernell qui semble la plus cohérente, notamment depuis que le passage de Villon à Vendôme a été démontré. Certaines ne sont pas datées précisément, et celles incluses par Villon dans le Testament sont ici placées après ce dernier, même si elles peuvent être antérieures. Les titres sont ceux retenus dans les Poésies complètes, éditées et commentées par Claude Thiry au
Ballade des contre vérités (1455 ?–1456 ?, Paris)
Le Lais (1457, Paris)
Épître à Marie d'Orléans (début 1458, Blois)
Double ballade (début 1458, Blois)
Ballade des contradictions (début 1458, Blois)
Ballade franco-latine (début 1458, Blois)
Ballade des proverbes (octobre-novembre 1458, Vendôme)
Ballade des menus propos (octobre-novembre 1458, Vendôme)
Épître à ses amis (été 1461, Meung-sur-Loire)
Débat du cuer et du corps de Villon (été 1461, Meung-sur-Loire)
Ballade contre les ennemis de la France (fin 1461, Meung-sur-Loire)
Requeste au prince (fin 1461, Meung-sur-Loire)
Le Testament (1461). Y sont aussi inclus :
Ballade des dames du temps jadis
Ballade des seigneurs du temps jadis
Ballade en vieux langage françois
Les regrets de la belle Heaulmiere
Ballade de la Belle Heaulmière aux filles de joie
Double ballade sur le mesme propos
Ballade pour prier Nostre Dame
Ballade à s'amie
Lay ou rondeau
Ballade pour Jean Cotart
Ballade pour Robert d'Estouteville
Ballade des langues ennuieuses
Les Contredits de Franc Gontier
Ballade des femmes de Paris
Ballade de la Grosse Margot
Belle leçon aux enfants perdus
Ballade de bonne doctrine
Rondeau ou bergeronnette
Épitaphe
Rondeau
Ballade de conclusion
Ballade de bon conseil (1462, Paris)
Ballade de Fortune (1462, Paris)
Ballades en jargon (1462, Paris)
Ballade des pendus (fin 1462, Paris)
Quatrain (fin 1462, Paris)
Louanges à la cour (janvier 1463, Paris)
Question au clerc du guichet (janvier 1463, Paris)
Biographie
François de Montcorbier dit Villon (né en 1431 à Paris, disparu en 1463) est un poète français de la fin du Moyen Âge. Il est probablement l'auteur français le plus connu de cette période. Les romantiques en firent le précurseur des poètes maudits.
Les seules sources contemporaines dont nous disposons concernant Villon sont, outre ses propres écrits littéraires, six documents administratifs relatifs à ses procès1. Ainsi, il faut soigneusement séparer les faits établis avec une quasi-certitude de la « légende Villon » à laquelle il a lui-même largement contribué en se mettant en scène dans ses œuvres.
En français moderne Villon se prononce [vijɔ̃] (comme « pavillon ») : la preuve en est apportée par le jeu des rimes comme dans la Ballade finale du Grand Testament, où le poète fait rimer son nom avec « carillon » ou « vermillon ». La prononciation à Paris, au XVe siècle, était différente comme pour le prénom, mais il ne viendrait à l'idée de
personne de ne pas prononcer aujourd'hui François [fʀɑ̃swa] , donc par cohérence il faut dire [vijɔ̃] » pour Villon.
Plus d'informations sur :
http://fr.wikipedia.org/wiki/François_Villon